samedi 10 mars 2012

Ce soir c'est disco.

Bon, c'est samedi soir, je suis fatiguée, rien ne se passe en théorie (peut-être un film au ciné?), je m'ennuie et j'ai pas envie de travailler (bouh, pas bien, vilaine). DONC je fais une fête sur mon blog (concept original mais nul), voilà, si vous avez du temps à perdre pour écouter du funk, de la disco, et d'autres trucs totalement COOL et GROOVEY, mettez votre plus beau pantalon à paillettes, accrochez la boule à facettes au plafond et branchez la sono.

1. Pas de samedi soir sans SATURDAY NIGHT FEVER. (bah ouais, neurmal.) Alors  on fait cinq minutes d'étirements et hop, on se rue sur les parquets cirés la tête bien droite pour pas abîmer la banane gominée de frais.


2. Maintenant que tout le monde s'est échauffé (grand écart de ouf aidant), il faut avoir le feeling disco. Alors répétez après le King (et venez pas me dire que c'est pas vrai!):


3. Mesdames, Messieurs, veuillez accrocher vos ceintures, nous allons traverser une zone de turbulences parfaitement ringue avec de la terre, du vent et du feu (les bilingues pros auront deviné avant les autres). INDICE pour les escargots de la traduction: HA!   HA!    DANCE! Nan? Toujours pas? Bah là j'ai plus rien, je suis désolée, vous allez être dans l'obligation de vous coltiner la vidéo en entier, et DEUX FOIS, puisque vous êtes visiblement mou du bulbe ce soir.


4. Allez, une première petite pause avec retour dans le monde réel. Enlevez les chaussures compensées, quittez la combi moulante bleu pétant et remplacez le tout par un ensemble plus confortable. Un survêt naze et des baskets pourries, par exemple. Vous avez le droit de garder la moustache seventies, cela dit. Ornez le tout de grosses chaînes bling bling à souhait. Vous êtes ready pour le clash musical du siècle, servi sur un plateau d'argent (cash) par IAM.



5. La rechute sera brutale. On revient en arrière - beaucoup - et on fait place aux jeunes. Et à l'alphabet. (toujours dans le but pédagogique de stimuler les mous du bulbe qui seraient toujours pas réveillés par le cocktail détonnant proposé par DJ Tagada (ouais c'est mon nom de scène, c'est cool hein) ce soir.) Allez allez, on renfile la combi et on répète la choré (oui parce que les paroles du refrain c'est facile):


6. Il a mué! (un peu)
BONUS: session karaoké spécial phonétique et sons étranges du King of Pop. Dernière chance pour ceux qui ont toujours pas démêlé leurs synapses. 


7. On continue les cours d'anglais. Leçon numéro un: DOWN. Où, comment cette chanson, littéralement traduite ("descends dessus") et ainsi chantée éhontément très fort offre un intéressant paradoxe linguistique qui se révèle hilarant en cas de soirée éthérée. HAHAHA j'en ris encore. Hein PL. :)


8. Petite pause numéro deux/ ouverture culturelle avec la disco gay-friendly des Scissor Sisters (si si, ils viennent du 21e siècle, je vous jure). Pas la peine de décrocher la boule à facette, là-dessus personne n'a trouvé mieux depuis son invention.



9. DIRECT LIVE je viens de vivre un tremblement de terre (ça n'empêche pas de danser, le groove, ça balance, de toutes manières). Je dois donc poster ceci:


10. Suite de la leçon d'anglais: après "down", UP. Conclusion: dans tous les cas, remuez les fesses.



CONCLUSION

La meilleure chanson de l'univers entier (si, j'ai vérifié d'abord). Si vous aimez pas, essayez même pas de me reparler. JAMAIS.



Allez, hop, à la douche, parce que hein, c'était sportif quand même tout ça.
Bonne nuit et à bientôt pour d'autres CRAZY NIGHTS par DJ Tagada.

1 commentaire:

  1. Merci DJ Tagada pour ces très forts instants musicaux...d'une exceptionnelle qualité...!!! nan, vraiment. En plus, j'ai jamais vu Saturday Night Fever, maintenant, on peut dire que j'ai vu l'essentiel. : )

    Je suis tombée sur un de tes co-bloggeurs, Un inconnu chez moi, je crois, il m'a bien fait rire vraiment, même si vous avez un petit contentieux sur l'histoire des Etats-Unis, mais son point de vue est intéressant.

    RépondreSupprimer