jeudi 2 février 2012

Remarque. (2)

J'ai vachement pas le temps de raconter ma life, je pars en cours dans 20 minutes, après boxe, après douche et soirée avec les copains parce que j'ai passé la semaine à bosser (enfin lire) et m'entraîner (j'ai mal PARTOUT c'est horrible).
Mais malgré tout j'ai quelque chose de très important à vous dire: il faut absolument que vous trouviez une traduction du roman d'Ayi Kwei Armah, The Beautyful Ones Are Not Yet Born et que vous le lisiez (oui, là tout de suite).
C'est passionnant pour plein de raisons, parce que c'est beau et parce que c'est libre, notamment, et aussi parce que ça rentre en formidable résonance avec ce que l'on a nommé le Printemps arabe, entre autres.

Voilà! Bonne journée/nuit! A plus!

3 commentaires:

  1. Et ben quand tu auras un peu de temps, tu pourras en proposer une traduction, car elle n'a pas l'air d'exister pour l'instant... : )
    Pourtant je t'accorde que cela fait un -trèèèès lonnnnng - moment que ce livre est sorti, mais bon, même de très bons ouvrages étrangers doivent patienter avant de trouver leurs lecteurs francophones...
    A plouche ; )

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    1. Punaise, j'hallucine. Le prof nous l'a quand même présenté comme OUVRAGE CLE dans la littérature post-coloniale. Et puis c'est pas comme si on n'avait pas participé à mettre le souk dans Acra, mais bon.
      Ben oui, je vais la traduire donc. HAHAHAHAHAHA. Figure-toi que je voulais traduire une phrase que je trouvais belle pour conclure l'article. Ben j'ai renoncé. Voilà.
      Bon, et sinon faut qu'on cause de Gérardmer un de ces quatre!!!

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  2. Bon, alors, cette phrase traduite, elle arrive ou quoi ?

    Number Origin

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